Quand c'est mon capitaine à l'armée qui devient le secrétaire du club, j'angoisse car je risque de perdre un bon bulletinier. Mais quand Stéphane Revaz annonce à son ancien soldat qu'il reste à son service pour la revue hebdomadaire en plus de ses charges administrative, c'est à nouveau l'esprit rotarien qui relance la roue.
Messieurs notre club est une formule 1 de bonnes volontés.